Laurent Abramowitz
Si j’étais une saison, je serais l’automne, c’est évident.
Si j’étais un animal, je serais un poulpié, le nouveau mutant.
Si j’étais un objet, je serais une tasse à café.
Si j’étais une odeur, je serais celle de la forêt.
Si j’étais un jeu, je serais 7 Wonders, le dernier jeu que m’ont offert mes filles.
Si j’étais un mot, je serais « schpling ».
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Gulli Holmesman, un mixte entre Gulliver, Sherlock Holmes et IronMan.
Charlène Brochard
Si j’étais une saison, je serais le printemps car je pourrais sentir l’odeur des pivoines.
Si j’étais un animal, je serais un lion car je ferais peur mais je serais douce aussi.
Si j’étais un objet, je serais un baume à lèvre car je pourrais hydrater, embellir et embrasser mon propriétaire.
Si j’étais une odeur, je serais la citronnelle car je ferais fuir les moustiques (je ne les aime pas).
Si j’étais un mot, je serais « saperlipopette » car ce mot me fait toujours rire (et il a 2 « pets »).
Si j’étais un jeu, je serais un jeu de carte parce que facile à transporter et utilisable de différentes façons.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais « mes enfants ».
Jean-Luc Faucheron
Si j’étais une saison, je serais le printemps car c’est la renaissance perpétuelle et la douceur de vivre !
Si j’étais un animal, je serais un guépard car il va très vite et s’épuise peu.
Si j’étais un objet, je serais un couteau car il peut sauver des vies (bistouri du chirurgien) mais il faut savoir le manier.
Si j’étais une odeur, je serais le lilas car il est fort, tenace, persistant et irradie loin.
Si j’étais un mot, je serais Henri car il représente l’histoire de plusieurs pays, se prononce facilement dans toutes les langues et a une sonorité claire.
Si j’étais un jeu, je serais le tarot car il allie la chance à la réflexion et se joue en équipe.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Monet car artiste amoureux de la nature, qui rendait sur la toile ce qu’il voyait en s’éloignant des règles imposées par les anciens.
Anne Laurain
Si j’étais une saison, je serais le printemps car j’aime tout particulièrement le vert tendre des feuilles printanières.
Si j’étais un animal, je serais Bagheera la panthère noire car elle surveille avec sagesse le petit d’homme du livre de la Jungle.
Si j’étais un objet, je serais une pince à hémostase car c’est l’objet contraphobique que j’ai toujours dans mon sac.
Si j’étais une odeur, je serais l’odeur de la terre après l’orage car elle nous rappelle d’où on vient.
Si j’étais un mot, je serais la bienveillance car c’est important.
Si j’étais un jeu, je serais un escape game, car on y résout des énigmes entre amis.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Blanche Gardin car j’adorerais avoir sa répartie…
Léon Maggiori
Si j’étais une saison, je serais la Haute saison car c’est plus cher donc c’est forcément mieux.
Si j’étais un animal, je serais le Diable de Tasmanie car je suis hyper vexé.
Si j’étais un objet, je serais un Womanizer premium 2 bleu, car c’est moderne.
Si j’étais une odeur, je serais celle d’un cendrier.
Si j’étais un mot, je serais merde putain, car ce sont les 2 mots que je dis le plus souvent.
Si j’étais un jeu, je serais le jeu du silence, car j’y ai toujours perdu.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Laurent Siproudhis, car je rêve d’être président.
Diane Mège
Si j’étais une saison, je serais l’automne car les couleurs sont magnifiques à NYC.
Si j’étais un animal, je serais un chat car il a été mon compagnon pendant 21ans.
Si j’étais un objet, je serais un ordinateur car j’y passe beaucoup de temps dessus.
Si j’étais une odeur, je serais la truffe car il fallait bien répondre à cette question.
Si j’étais un mot , je serais « ça va » car c’est une réponse pratique à Marseille.
Si j’étais un jeu, je serais le pendu car cela me rappelle de longues heures passées sur la plage avec une plume de mouette.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Mickael Jackson car j’adore sa musique.
Guillaume Meurette
Si j’étais une saison, je serais l’automne qui correspond à mon humeur et la couleur de mes cheveux qui malheureusement commencent à sentir l’hiver.
Si j’étais un animal, je serais un paresseux car j’aime la sieste par-dessus tout !
Si j’étais un objet, je serais une guitare car c’est mon fidèle thérapeute.
Si j’étais une odeur, je serais le patchouli car lorsque j’étais enfant, on m’a offert un parfum qui s’appelait Phileas de Ricci, qui n’existe plus et depuis je n’ai eu de cesse de rechercher cette odeur qui me colle… et en 2021, j’ai trouvé chez Frédéric Malle ce qui s’en rapproche le plus pour mon plus grand bonheur.
Si j’étais un mot, je serais PÈRE car c’est le cas…
Si j’étais un jeu, je serais docteur maboul car ce jeu m’est épidermique à chaque sonnerie je manque la crise d’apoplexie !
Si j’étais quelqu’un d’autre je serais Jacques Brel, car je ressens ma vie et mes émotions à travers ses mots et ses intonations !
Vincent De Parades
Si j’étais une saison, je serais l’été car c’est chaud et lumineux…
Si j’étais un animal, je serais un chat car j’aurais 9 vies…
Si j’étais un objet, je serais un livre car on ne s’ennuie jamais avec une histoire…
Si j’étais une odeur, je serais le parfum de mon épouse car je ne l’oublierais pas…
Si j’étais un pays, je serais l’Italie car c’est le plus beau pays du monde…
Si j’étais un jeu, je serais un échiquier car le hasard n’y a aucune place.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Henri IV car c’est le plus sympathique de nos Rois de France…
François Pigot
Si j’étais une saison, je serais le printemps, promesse de la belle saison à venir, encore possible à mon âge.
So j’étais un animal, je serais une libellule, pour voir de haut et me balader en armure colorée.
Si j’étais un objet, je serais un livre, indiscutablement l’indispensable objet.
Si j’étais une odeur, je serais celle de la terre rouge du Maroc qui m’enchante à chaque retrouvaille.
Si j’étais un mot, je serais pourquoi, avec un point d’interrogation, devinez pourquoi.
Si j’étais un jeu, je serais le Trivial Pursuit, pour l’envie d’en savoir plus.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais John Travolta, pour enfin savoir danser.
Laurent Siproudhis
Si j’étais une saison, je serais printemps car c’est celle du renouveau, des jeunes pousses, des verts intenses et d’une nature vibrante. Je me sens chaque année renaître et trouve un surcroît d’énergie.
Si j’étais un animal, je serais hirondelle pour son attachement aux lieux et aux saisons, son rapport poids/puissance/endurance inégalé et la précision de son vol. Je peux passer de longues minutes à les admirer en fin de journée.
Si j’étais un objet, je serais « Vénus sortant du bain » de GC Allegrain (1767) car ma place est dans de beaux espaces extérieurs (jardins classiques allées) et que l’immobilité statuaire n’est qu’apparente. Elle veillera sur moi quand on me mettra en terre.
Si j’étais une odeur, je serais violette ou indifféremment rose car elles sont ma Madeleine, la référence à mon enfance, aux parfums des vieilles dames et aux bombons (Violettes cristallisées ou encore les violettes de Toulouse ou Loukoum de la rue de la Huchette).
Si j’étais un mot, je serais Épochè car il définit la suspension du jugement en philosophie et en psychanalyse. Il a pu être développé par les courant stoïciens puis par d’autres mouvements plus contemporains. Il invite à éviter les jugements de valeur des personnes et des faits qui les (nous) enferment. C’est une perception qui est très à contre-courant des mouvements sociétaux et humanistes actuels : elle n’est pas inscrite dans les projets de développement personnel mais reste un des fondamentaux de la communication non violente.
Si j’étais un jeu, je serais le « jeu de l’Amour et du Hasard » car …. Ce n’est pas un jeu mais une pièce classique de Marivaux. J’ai une aversion pour les jeux. Je n’aime pas jouer et je n’aime pas perdre.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais la personne que j’aime car nous vivons une relation fusionnelle si riche que « parce que c’était « elle » et parce que c’était moi ».
Lucas Spindler
Si j’étais une saison, je serais le printemps car il ne fait ni trop chaud ni trop froid. J’aime me mettre au vert et l’Alsace est magnifique en cette saison. Et en toute saison d’ailleurs !
Si j’étais un animal, je serais un tigre car j’aime la viande et me balader en forêt.
Si j’étais un objet, je serais une voiture car c’est la liberté et un bel exemple de génie humain. C’est ma passion.
Si j’étais une odeur, je serais un joli nez pour les moments partagés en famille et entre amis autour d’une bonne bouteille de vin.
Si j’étais un mot, je serais néanmoins car il y a toujours un mais. Et puis la nuance c’est important.
Si j’étais un jeu, je serais le monopoly car plus c’est long plus c’est bon.
Si j’étais quelqu’un d’autre, je serais Patrick Hernandez. Un seul tube et 40 ans plus tard il est toujours là… Un génie !
Véronique Vitton
Si j’étais une saison, je serais l’été, pour sa lumière et ses longues soirées.
Si j’étais un animal, je serais un chat, car rrrrhhhhhh.
Si j’étais un objet, je serais un verre à vin, car il est convivial.
Si j’étais une odeur, je serais celle du cuir, sans que je sache réellement l’expliquer.
Si j’étais un jeu, je serais le Rami, car il me rappelle mon enfance, et… je gagne tout le temps.
Si j’étais un mot, je serais Motchus, avec l’accent de Marseille, car cela me fait rire.